photo L'Os qui chante : balade contée - Coup de contes

L'Os qui chante : balade contée - Coup de contes

Pasques 21370

Le 26/09/2021

Quel parent normalement constitué ne souhaiterait pas le meilleur pour son enfant ? Mais c'est quoi le « meilleur » ? Comment accepter de perdre son enfant, cet enfant en qui on a placé tous ses espoirs, tout son amour ? Et ça veut dire quoi « perdre » ? Et comment faire quand on donne la vie à un enfant différent ? Et quand on est enfant et qu'on a de cesse de chercher la reconnaissance de ceux qui nous ont mis au monde, comment faire pour s'accomplir en tant qu'adultes ? Quelle place se construit-on au sein d'une fratrie, d'une famille ? Quelle place on nous donne ? En puisant dans le répertoire immatériel de l'humanité, au fil de facéties et de légendes, de mythes et de contes merveilleux, avec la voix pour instrument et le corps comme seul décor, la conteuse Frédérique Lanaure vous conduira dans l'exploration de ces questions sans fin qui font que nous sommes des êtres humains. Balade contée organisée dans le cadre du festival Coup de contes en Côte d'Or Tout public à partir de 8 ans Repli en cas de pluie Gratuit Réservation obligatoire auprès du service culture de la CCOM : 03 80 49 77 43 ou culture@ouche-montagne.fr

photo L'Isola disabitata | Haydn

L'Isola disabitata | Haydn

Dijon 21000

Du 27/11/2021 au 28/11/2021

Le livret de Métastase, sans appuyer ni s’attarder, entretisse plusieurs motifs poétiques du siècle des Lumières. L’île perdue des mers du Sud où une jeune naufragée se morfond depuis treize ans aux côtés de sa sœur cadette fait songer à celles qu’a peuplées la fantaisie de Marivaux. Rien de tel qu’une île, en effet, pour conduire des expériences sociales ou sentimentales, à l’écart des influences du reste du monde. Costanza, la bien nommée, désespère de ne jamais revoir son époux : elle est convaincue qu’il l’a abandonnée, et en a tiré la conclusion que tous les hommes sont des monstres. Déjà, elle grave son testament sur un rocher… Silvia était trop jeune pour garder le souvenir de sa vie antérieure : la vie en pleine nature suffit à sa joie. Lorsque Gernando débarque enfin, accompagné de son ami Enrico, il ne sait pas si Costanza a survécu. Et Enrico ignore que Silvia ne connaît ni les hommes, ni l’amour… En quatorze courtes scènes, Haydn alterne les voix de ces cœurs qui se cherchent, et conclut leur quête sur un superbe quatuor final.

photo Le Printemps des Poètes en Côte-d'Or

Le Printemps des Poètes en Côte-d'Or

Lecture - Conte - Poésie

Dijon 21000

Du 12/03/2022 au 28/03/2022

Il en va des mots comme des chansons d’amour qui reviennent par surprise au détour d’une voix, d’un souvenir, d’une émotion. « J’ai pris la main d’une éphémère… » Dansait dans ma mémoire. Sans que je sache qui le premier, de Montand ou Ferré, avait semé ce trouble de l’étrangère en moi. Adolescents nous ne comprenions pas tout à cette romance des années folles, ni même à ce poème que l’on disait roman inachevé, mais pressentions ce mystère de « l’éternelle poésie » qu’Aragon dilapidait sans crier gare. Une seule et unique voyelle, quatre fois invoquée, entre la fièvre, le murmure, la foudre, l’imaginaire, l’insaisissable, l’à-venir, l’impensé, le maternel, le fugace, la soif, l’énigme, le précaire, l’effervescence, le friable, l’envol, l’impermanence… Plus vaste que l’antique Carpe Diem et plus vital aussi, L’éphémère n’est pas qu’un adjectif de peu d’espoir. C’est un surcroît d’urgence, de chance et de vérité. Une prise de conscience toute personnelle et cependant universelle, comme un quatrain d’Omar Khayyam, un haïku d’hiver, un coquelicot soudain, une falaise à soi, un solstice d’été, un arbre déraciné ou la vingtaine de numéros d’une revue de poètes du siècle dernier. Il[...]

photo Dijon secrets d'alcôves... Que la Saint Valentin soit

Dijon secrets d'alcôves... Que la Saint Valentin soit

Dijon 21000

Le 12/02/2022

Une visite sulfureuse de la Cité des Ducs : on vous emmène, vous et votre partenaire, dans une visite animée mêlée d’histoires d’amours et d’élans érotiques. Saviez-vous que le château royal de Dijon possédait son propre lupanar ? Que les apothicaireries vendaient des remèdes pour l’amour et que certaines denrées alimentaires vous permettaient de passer une nuit ou une journée (ou les deux à vous de choisir) de passion ? Plus qu’une « visite » c’est une déambulation à deux voix et quatre mains parfois déjantée, parfois plus romantique sous la conduite de deux guides à la fois, il fallait au moins çà, mi ange (Charlotte), mi démon (Claire) et ponctuée de rencontres et de surprises. C’est dans les « bas-fonds » de la ville que se terminera votre voyage. Là, vous attendent nos deux acolytes, Bénigne et Julien pour vous initier aux plaisirs divin. Du vin, bien entendu. Ces dieux de la cave, mi Eros mi Bacchus, ont prévu pour l’occasion une sélection de nectars tout désignés. Débauchés tout spécialement pour cette occasion unique autant qu’exceptionnelle, certains des commerçants du centre-ville deviennent nos complices et partenaires et s’insinuent dans vos amours pour[...]